Il y a une vingtaine d’années, nous avions eu l’occasion d’essayer une Mazda 626 au cours d’un voyage effectué sur quelque 3000 kilomètres. L’opportunité vient de nous être donnée de tester un modèle successeur, en  l’occurrence la Mazda 6 édition 2008. Avec une motorisation 2 litres essence et boite de vitesses automatique à 5 rapports, elle dispose de 147 ch (1O8 kW)  qui lui permettent de belles reprises malgré un poids confortable de 1455 kilos, conducteur à bord.  

Nous avons pris en main la version Sportbreak, un élégant break (4 m78 pour une largeur de 1 m80) un peu plus long que la version berline. Dans la version essayée, elle dispose d’un volume maximal de 1750 litres calculés jusqu’au toit, ce qui représente un espace appréciable.

 En bref, Mazda a réussi  un véhicule confortable sur grands trajets et maniable sur petites routes. Sous des aspects d’abord peinards, le moteur se libère rapidement pour disposer de belles ressources. Quant au freinage, il offre une sécurité de bon aloi.

Sur le plan de la fonctionnalité,  la Mazda 6 Sportbreak se montre facile et généreuse.

Au prix de base de la Mazda 6 Sportbreak, il convient d’ajouter sur le modèle dont nous avons bénéficié : 3.040 euros pour l’ensemble audio qui comprend le changeur 6 CD, 8 haut-parleurs et le kit mains-libres, ainsi que 1930 euros pour l’intérieur cuir avec sièges avant à règlage électrique. Cela mène la voiture à un total d’environ 32.000 euros, TVA incluse.

Un petit regret qui concluera ce galop d’essai, Mazda propose dans la même gamme de prix un modèle identique équipé d’un moteur de même cylindrée mais à carburant diesel. A injection directe multipoints, il dispose de quelques chevaux de moins (103 kW- 140 ch) mais d’un couple maxi confortable de 330 Nm à 2000 t/m. Face au succès rencontré par le moteur diesel de façon générale, cette version devrait rencontrer un succès plus qu’honorable.

Bernard GEERAERD

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Légende : la Mazda 6 Sportbreak en pleine action

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