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Editorial du mois de janvier 2013Pauvres vendanges en BeaujolaisEn fréquentant récemment différents salons consacrés au vin, nous avons pu constater que le millésime 2012 n'aura pas laissé, surtout en France, un souvenir inoubliable. De sa propriété installée à Izon, entre Bordeaux et Libourne, notre ami Alain Vercouter rentrait en constatant que la production 2012 aura été amputée de près de 40% par les circonstances climatiques. Seule consolation, et non des moindres, la qualité sera bien présente dans ce millésime maigre en quantité. Mais visiblement, c'est l'appellation Beaujolais dans son ensemble qui aura payé le plus lourd tribut à ces saisons bouleversées. A tel point, comme l'annonce comme une mise en garde notre confrère Benoît Escoffier dans l'un de ses derniers billets, que 500 des quelque 2300 viticulteurs du Beaujolais devraient mettre fin à leurs activités si l'Etat français ne fait pas un geste d'aide conséquente. Avec ses 10 crus réputés et sensiblement plus intéressants que le très commercial Beaujolais primeur, l'appellation Beaujolais réserve autant de belles surprises qu'elle possède de propriétaires. Donc, Benoît Escoffier propose- et nous comprenons volontiers son point de vue- que les viticulteurs beaujolais viennent faire entendre leur voix et leurs angoisses financières auprès du gouvernement français. Leur situation devrait faire partie des priorités d'un pays qui compte tout de même beaucoup sur le monde du vin. Dont l'appellation Beaujolais fait grandement partie. Bernard GEERAERD Rédigé par B.G. Posté le 2012-12-28 12:43:45 / ref_article : 45 Edito : Archives |
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